Guêpes

Le terme de guêpe désigne une multitude d’insectes de l’ordre des Hyménoptères. Celles qui nous importunent durant les piques niques et repas en terrasses sont des guêpes sociales de la sous-famille des Vespinae ou des Polistinae. Mais il existe aussi une multitudes de minuscules espèces de guêpes que l’on désigne souvent par le même terme de "guêpe". Difficile de s’y retrouver !

Dans les articles présentés ici, vous trouverez donc des informations à la fois sur les guêpes sociales, mais aussi sur les petites guêpes solitaires qui sont bien souvent des parasites aux mœurs passionnants.


  • Guêpe coucou, Chryside enflammée

    Les guêpes coucou sont des insectes parasites d’abeilles solitaires. Leurs couleurs bleues et rouges vives et métalliques sont remarquables. On leur accorde pour cette raison le surnom de chryside enflammée, qui désigne en réalité une des espèces les plus courantes de la famille des Chrysididae : Chrysis ignita.

  • Les Ichneumons, famille des Ichneumonidae

    Les ichneumons, ou ichneumonidae sont des insectes souvent noirs et jaunes qui rentrent parfois dans les maisons et sont coincés près des fenêtres. Sont-ils dangereux ? comment faire pour les relâcher ? Cet article vous explique leur biologie et ce qu’il faut faire si vous en trouvez un dans votre maison ou votre jardin.
    Les ichneumons sont des guêpes solitaires parasites de la famille des Ichneumonidae. Ces insectes, souvent jaunes et noirs, sont extrêmement diversifiées. Certains (...)

  • L’isodonte mexicain sème la terreur chez les sauterelles

    Il ne s’agit pas d’une nouvelle forme de transport aérien pour sauterelles : l’isodonte mexicain ramène des Orthoptères paralysés dans son nid pour les jeter en pâture à ses larves affamées.

  • La galle du rosier : quand les insectes détournent les plantes

    Le cynips du rosier est un parasite du rosier. Cet insecte est une petite guêpe qui pond ses oeufs dans les rosiers et force la plante à former une galle dont sa larve se nourrit. Voici comment le reconnaître et s’en débarrasser.

  • Les guêpes potières ou maçonnes

    Avez-vous déjà observées de minuscules poteries accrochées sur le mur de votre maison ? C’est l’oeuvre des guêpes potières, aussi appelées guêpes maçonnes, qui construisent ces structures en terre pour y pondre leurs oeufs.

  • Guêpes parasitoïdes de Drosophila suzukii : la lutte biologique contre les drosophiles invasives

    Des scientifiques ont récemment montré que parmi cinq espèces communes de guêpes parasitoïdes des drosophiles naturellement présentes en France, deux espèces (Trichopria cf drosophilae et Pachycrepoideus vindemmiae) sont capables de tuer Drosophila suzukii, une drosophile originaire d’asie. Ces deux petites guêpes pourraient ainsi être utilisées en lutte biologique pour contrôler cette drosophile invasive, qui est responsable de dégâts sur les fruits dans les vergers et les vignobles.

  • Guêpes chasseuses de pucerons

    Photographies de guêpes solitaires chasseuses de pucerons sur un hôtel à insectes.

  • Les Mutillidae ou "fourmis" de velours

    Elles ressemblent à de grosses fourmis poilues mais il n’en est rien : les mutillidae sont des guêpes solitaires chez qui seuls les mâles sont ailées.

  • Une guêpe sans aile infiltre les colonies de minuscules fourmis

    Même les plus petites des Fourmis que l’on peut trouver en France sont parasitées par de minuscules guêpes. Ces dernières s’infiltreraient dans leur nid pour y passer l’hiver et s’y abriter...

  • Pompiles, guêpes chasseuses d’araignées

    Les pompiles sont des guêpes chasseuses d’araignées. Ces guêpes paralysent les araignées avec leur venin et les transportent jusque dans leur nid. Ces guêpes coupent souvent les pattes des araignées paralysées pour les transporter plus facilement. Elles pondent ensuite un oeuf sur chaque araignée paralysée. L’oeuf de guêpe éclot et la larve qui en sort se nourrit de l’araignée encore vivantes et paralysées.